Les procédures de candidature pour l’organisation des Coupes du Monde Féminines de la FIFA 2031 et 2035 déjà été lancées. Les États-Unis et la CONCACAF ont reçu le feu vert pour postuler à l’organisation de la Coupe du Monde Féminine 2031. Mais ils devront faire face à une concurrence redoutable : l’Afrique du Sud et le Maroc.
Les États-Unis en pole position ?
Mercredi, la Fédération de football des États-Unis (USSF) a officialisé sa candidature, soulignant son ambition d’accueillir le tournoi et de continuer à développer le football féminin. Cette annonce intervient après que les États-Unis et le Mexique ont abandonné leur candidature pour 2027, laissant le Brésil organiser cette édition. « Nous sommes ravis d’avoir l’occasion d’accueillir des équipes et des partisans, d’inspirer la prochaine génération et de faire croître le jeu à l’échelle régionale et mondiale », a déclaré l’USSF dans un communiqué.
L’Afrique à son mot à dire avec le Maroc et l’Afrique du Sud
La FIFA a limité la compétition à deux régions éligibles : l’Amérique du Nord et l’Afrique. Deux nations africaines se positionnent : le Maroc, qui a déjà organisé avec succès des compétitions internationales, et l’Afrique du Sud, qui a une solide expérience avec la Coupe du Monde masculine 2010.
Le Japon hors course
Malgré un intérêt pour accueillir le tournoi, le Japon a vu ses chances s’évaporer jusqu’en 2039 au moins. La fédération japonaise a cependant assuré qu’elle continuerait à soutenir la croissance du football féminin.
Une bataille intense en perspective
Avec deux continents en lice, la décision finale de la FIFA sera scrutée de près. L’Amérique du Nord mise sur son infrastructure et son expertise, tandis que l’Afrique souhaite poursuivre son ascension dans le football mondial en organisant son premier Mondial féminin.
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